ZestVlog

L'Association des maires de grandes villes de France (AMGVF) rendra publique, dans le courant du mois de mars, une étude sur les charges de centralité des villes situées au centre d'une agglomération. L'enquête réalisée auprès des villes de plus de 100.000 habitants met en évidence la manière dont la ville-centre et l'intercommunalité "se partagent" le coût des équipements publics, indique l'AMGVF. C'est la troisième étude que les maires de grandes villes réalisent sur ce sujet, très débattu.
Interrogés sur leur exercice en matière de démocratie locale et de transition écologique, ces élus ont pu s’exprimer sur leur ressenti en la matière, dressant un état des lieux aisément transposable au niveau national. Si la maille communautaire est soulignée comme un atout pour conforter le rôle des communes, la gestion des déchets ménagers et des pesticides non agricoles concentrent l’essentiel des efforts des maires en matière d’écologie. La place de la commune dans les grandes structures issues des fusions, l’implication des citoyens, les marges de manœuvres des maires en matière de circuits courts, gestion de la ressource en eau, dépendance à l’essence …, autant d’éléments instructifs abordés dans ce rapport qui confirme l’enjeu primordial de la transition écologique pour les prochaines mandatures.
Non, le "zéro charges" ne sera pas maintenu au-delà du 30 juin. Contre le souhait du patronat et les annonces récentes de Laurent Wauquiez, le chef de l'Etat en a décidé autrement. Cette exonération totale de cotisations pour les TPE qui embauchent au niveau du Smic fait partie de la batterie de mesures prises pendant la crise pour soutenir l'emploi. Instaurée par le plan de relance de décembre 2008, elle avait vocation à s'achever le 30 juin 2010.
Dans un communiqué du 28 mai 2008, la Fédération nationale des travaux publics et la fédération française du bâtiment ont annoncé qu'elles souhaitaient proposer à Christine Lagarde, ministre de l'Economie, de mettre en œuvre des "mesures automatiques de prise en compte de l'évolution des coûts, notamment des produits pétroliers" dans les marchés publics de travaux pour faire face aux difficultés liées à l'augmentation continue du prix des produits pétroliers. Cette évolution impliquerait, selon elles, de rendre "
Publié le 11 mars 2019par  Caroline Megglé pour Localtis Citoyenneté et services au public, Organisation territoriale, élus et institutions Organisées par le think tank Décider ensemble avec 17 partenaires dont la ville et la métropole de Grenoble, la Banque des Territoires ou encore l'Assemblée des communautés de France (ADCF), les Rencontres nationales de la participation s'ouvrent dans la capitale alpine ce 11 mars 2019. Avec l'appui également d'une trentaine de contributeurs, dont des collectivités telles que le département du Gers, le Grand Cahors ou la commune de Lavelanet (Ariège), 600 participants de divers horizons - élus et agents publics, associations, entreprises, chercheurs… - et 120 intervenants sont attendus, selon le dossier de présentation de l'événement.
Dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances pour 2010, le Sénat a donné son feu vert, dans la soirée du 23 novembre, à la création de la taxe carbone (article 5 du texte). La majorité a adopté la mesure sans enthousiasme. Gérard Longuet, président du groupe UMP au Sénat, a regretté l'absence du ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo. "Nous sommes frustrés d'un vrai débat sur l'utilité de la taxe carbone"
Publié le 15 décembre 2022par  Thomas Beurey / Projets publics pour Localtis Développement économique Parmi les communes de 2.000 habitants et plus, sur lesquelles l'observatoire rattaché au comité des finances locales concentre son analyse, on constate que pour deux communes de même profil, celle qui perçoit 10 euros par habitant et par an de subventions en plus a en moyenne des dépenses d’équipement par habitant plus élevées de 15 à 17 euros par habitant et par an.
Publié le 23 mars 2023par Frédéric Fortin , pour Localtis Cohésion des territoires, Europe et international, Petites Villes de Demain L’heure n’est pas à un PVD2. "On est encore au tout début du dispositif Petites Villes de demain, lancé en octobre 2020 et programmé sur 6 ans. L’heure n’est pas encore à l’évaluation" – et donc encore moins à la duplication –, a expliqué Christophe Bouillon, qui préside depuis décembre l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT), répondant ce 22 mars à l’interrogation d’un élu vendômois.
En septembre 2009, lors de l'annonce de la prochaine mise en place d'un RSA-jeunes (revenu de solidarité active), Nicolas Sarkozy avait évoqué le chiffre de 160.000 moins de 25 ans concernés. Puis, au moment de la mise en place de cette nouvelle prestation, le 1er septembre 2010, le gouvernement avait tablé sur des chiffres a priori plus réalistes, avec un objectif d'environ 15.000 bénéficiaires la première année. Mais même cet objectif modeste ne sera finalement pas atteint.